Le Lundi 15 septembre 2014
Participation au « Week-end de courses de la Petite Italie »
publié par 160e groupe scout François PerraultLe groupe scout 160e Sainte-Cécile a profité de l’évènement festif qui se tenait sur la rue St-Laurent, lors de la fin de semaine du Grand prix de Montréal, pour représenter le mouvement scout.
Maria et Antonio, tous deux bénévoles au sein du groupe, étaient au kiosque scout sur la rue Saint-Laurent, fermée à la circulation, pour distribuer de l’information. De plus, on pouvait se procurer quelques-unes des réalisations des jeunes pour financer leurs activités : Pinãtas et biscuits en pots. «Nous souhaitons que l’enfant cherche des ressources» pour financer ses activités comme les camps d’hiver et d’été auxquels il participe, raconte Joanne Pinsonneault, chef du groupe scout 160e Saint-Cécile. La recherche d’autonomie des jeunes est d’ailleurs une valeur fondamentale défendue par le mouvement scout.
Si on observe un léger déclin dans la participation aux scouts ces dernières années, et un gros déclin dans la participation d’adultes bénévoles, le groupe 160e Sainte-Cécile comptait tout de même cette année huit petits castors, de 7 à 9 ans, 22 louvettes et louveteaux de 9 à 11 ans, et six éclaireurs-aventuriers, de 12 à 17 ans.
«On cherche des adultes bénévoles engagés auprès de la jeunesse pour encadrer les jeunes», dit Mme Pinsonneault. Ces bénévoles doivent montrer «patte blanche», précise-t-elle, et ils doivent pouvoir y consacrer quelques heures par semaine.
Si le mouvement scout initialement fondé par Baden Powell en 1907 était fortement associé à l’église catholique, le groupe 160e Sainte-Cécile opte pour une approche plus spirituelle que religieuse, entre autres à cause du caractère très multiethnique du groupe.
Note : cette activité et ce texte ont été possibles grâce à l’implication de parents bénévoles engagés.