Le Jeudi 3 avril 2014
Plus qu’une blessure physique : les conséquences psychologiques d’un acte criminel – Semaine de sensibilisation aux victimes d’actes criminels – 6 au 12 avril 2014
publié par Institut universitaire en santé mentale de MontréalMONTRÉAL, le 3 avril 2014 – Lors d’un acte criminel, les blessures visibles sont évidemment celles qui mobilisent le plus d’énergie : on soigne la personne, panse ses plaies et l’accompagne dans un processus de réadaptation physique. Or, d’importantes souffrances sont souvent oubliées ou négligées parce qu’invisibles : les séquelles psychologiques. Non moins souffrantes et paralysantes, les conséquences psychologiques d’un acte criminel ont un réel impact dans la vie de la victime et de son entourage. Insidieuses, elles peuvent continuer de faire des ravages bien longtemps après que les blessures physiques se soient bien cicatrisées.
En cette semaine de sensibilisation aux victimes d’actes criminels, l’équipe du iusmm.ca
Le Centre de recherche de l’Institut
Affilié à l’Université de Montréal, le Centre de recherche et ses partenaires, l’Hôpital Rivière-des-Prairies et l’Institut Philippe-Pinel de Montréal, est reconnu par le Fonds de la recherche en santé du Québec. À la fine pointe des connaissances, il est l’un des plus importants lieux de recherche en santé mentale dans le milieu francophone canadien. iusmm.ca/recherche
Le Centre d’étude sur le trauma est un milieu de recherche, de clinique et d’enseignement multidisciplinaire dédié aux problématiques découlant des événements traumatiques. plusqu1souvenir.ca