Journée québécoise des centres communautaires de loisir

QUÉBEC, le 2 oct. 2012 – À l’occasion de la Journée québécoise des centres communautaires de loisir, personnel, bénévoles et participants aux activités des centres communautaires de loisir sortiront sur les artères principales de leur quartier, le jeudi 4 octobre, entre 11 h et 13 h. Au cours de cette vaste opération collective, menée dans toutes les régions où se trouvent les centres fédérés, ils iront à la rencontre des citoyens et leur remettront des objets amusants et utiles.

Sous le thème Connais-tu ton centre?, la Journée se veut une invitation lancée à l’ensemble de la population à visiter les centres communautaires et à venir constater qu’on y trouve un loisir différent, un milieu de vie accueillant, une multitude de services et d’activités aussi variés qu’accessibles.

Les activités de loisir permettent aux enfants de se développer et aux adultes de se maintenir en bonne santé physique et psychologique. Elles sont, en fait, nécessaires à l’équilibre des êtres humains. Le droit aux loisirs est d’ailleurs reconnu dans la Déclaration universelle des droits de l’homme. Pourtant, dans les milieux défavorisés, le loisir est souvent un luxe qu’on ne peut se permettre, faute de moyens.

Le loisir communautaire favorise le regroupement, l’implication et la prise en charge des citoyens dans leur milieu. Ensemble, accompagnés des milliers d’animateurs, d’animatrices et de bénévoles qui travaillent dans les centres à travers le Québec, ils conçoivent et mettent sur pied des projets en fonction de leurs préoccupations et de leurs attentes, apprennent à marcher sur la voie de l’autonomie, créent des liens.

Lieux d’accueil, d’échange et de solidarité, points de rencontre des générations et des cultures, les centres communautaires de loisir sont de véritables agents de développement social et de précieux outils de prévention en matière de santé, d’éducation, de sécurité et d’insertion sociale. La Journée québécoise des centres communautaires de loisir permet de souligner leur apport et de rappeler qu’ils sont des milieux de vie ouverts sur leur communauté.