Le Vendredi 25 novembre 2011
Le pont entre le réseau public et le mouvement communautaire lavallois se solidifie
publié par Corporation de développement communautaire de LavalVendredi, 25 Novembre 2011 – Lors du lancement hier du rapport de recherche intitulé « Les organismes communautaires, une contribution essentielle à Laval », les gestionnaires du réseau public lavallois ont confirmé leur appui aux organismes afin de travailler à faire reconnaître et financer adéquatement les actions des groupes communautaires.
Ce fût l’occasion de démontrer encore une fois l’excellente collaboration entre l’Agence de la santé et des services sociaux de Laval (ASSSL) et le mouvement communautaire lavallois, représenté par la Corporation de développement communautaire, qui ont tous deux contribué à la réalisation du rapport.
Durant la soirée, les organismes ont tendu la main aux partenaires présents. Ces derniers ont réaffirmé leur volonté de maintenir une concertation régionale forte afin que le gouvernement provincial consolide le financement des organismes communautaires lavallois à la hauteur de leurs besoins.
L’ASSSL a assuré avoir espoir que d’ici 2015, les différents travaux communs mèneront les groupes communautaires à atteindre les seuils de financement plancher nécessaires à la réalisation de leurs missions et des activités qui y sont liées.
Durant la soirée, il a été question des trois grands constats issus de la recherche et ayant pour objectif d’améliorer l’apport des organismes communautaires à la santé et au bien-être des Lavallois. Il s’agit de la reconnaissance de leur contribution, de l’importance de ne pas les détourner de leurs missions principales et finalement du sous-financement qui touche la majorité des organismes.
Rappelons que le mouvement communautaire à Laval répond aux besoins de près d’un Lavallois sur trois, soit environ 120 000 personnes. Leur travail a un impact sur le réseau de la santé et des services sociaux. La flexibilité des interventions, le temps de réponse plus rapide aux besoins, ainsi que l’approche plus humaine concèdent aux organismes une place essentielle dans l’amélioration du bien-être des citoyens.
– 30 –
Source : Maxime Bergeron-Laurencelle, coordonnateur de la CDC-TROC de Laval
450 978-2388