Lorsqu’on s’imagine l’avenir de nos sociétés, qu’est-ce qui nous vient spontanément à l’esprit? Est-ce le développement de la technologie, ou encore l’accroissement de la richesse économique? Habituellement non.
Ce qui vient à l’esprit, ce sont les valeurs de demain, les vertus:
-un monde de liberté;
-le respect et l’inclusion des différences;
-une relation hamonieuse avec la Nature;
-la probité des dirigeants et des citoyens;
-l’entraide;
-etc.
Mais n’y a-t-il pas une coupure entre l’aspiration envers ces valeurs et l’inertie d’un mode de vie hérité du XXe siècle? Tous, nous constatons l’écart immense entre le discours prônant ces grandes valeurs, et les atteintes à la liberté, le pillage de la Nature, les problèmes de corruption…
Comment pourra-t-on changer cela et construire un monde qui soit de plus en plus en accord avec les valeurs auxquelles nous aspirons?
Selon les nombreuses expériences du XXe siècle, les seuls changements d’idéologies politiques ne sont pas efficaces. Il faut quelque chose de plus profond, qui nous engage tous individuellement et collectivement. Un changement qui mette en accord nos actions avec nos idées.
Mais ce changement ne viendra pas de ceux qui sont confortables dans le monde actuel! Il ne viendra pas non plus de ceux qui ont «quelque chose à perdre», que ce soit une position sociale, un poste de prestige, une source de revenu, etc.
Le changement viendra donc de la jeunesse, que ce soit une jeunesse de corps ou de coeur, une jeunesse qui doit se former au vécu quotidien des vertus – et pas seulement au fait de prononcer le nom des vertus sans un engagement à les vivre soi-même.
Cet engagement continu à se transformer soi-même pour changer le monde est celui de Nouvelle Acropole et de ses volontaires depuis les tout débuts il y a 57 ans.
Renseigne-toi ici.