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Chronique

Image de l'article Le marché immobilier au Québec en 2026 : ce que vous devez savoir

Le marché immobilier québécois s’apprête à aborder 2026 dans un contexte de transition : après des années de forte pression, on entre plus clairement dans une phase de « rééquilibrage ». Voici une analyse des forces, des signaux à surveiller et des recommandations pour acheteurs, vendeurs et investisseurs.

1. Contexte général et grands signaux
Au niveau national, certaines prévisions anticipent une légère baisse des prix dans certaines provinces, mais le Québec reste mieux positionné.

Pour le Québec, la demande reste présente mais l’accessibilité, l’offre et l’économie locale doivent être surveillées.

Pour consulter directement des annonces et outils sur Vendre.ca : Vendre.ca

2. Prévisions pour 2026 au Québec
Voici ce que l’on peut anticiper pour l’année à venir :

Prix : Plutôt qu’une flambée, on s’attend à une modération.

Volume de transactions : On prévoit une légère hausse, en fonction de la confiance des acheteurs.

Segments spécifiques : Les régions périphériques pourraient gagner davantage d’acheteurs cherchant un bon rapport qualité/prix.

Pour consulter les différentes catégories d’annonces :

Maisons à vendre 

Condos à vendre 

Terrains à vendre

3. Ce que ça change pour …
Pour les acheteurs
C’est un moment intéressant pour se positionner : plus de choix, mais rester bien préparé.

Pour les vendeurs
Le marché reste actif, mais la mise en marché devient déterminante : photos de qualité, annonces convaincantes.

Pensez à publier ou à optimiser votre annonce sur Vendre.ca pour en tirer le maximum.

Pour les investisseurs
Le segment immeubles à revenus, multiplex, reste attractif. Mais la rigueur et l’évaluation sont essentielles.

4. Risques et signaux d’alerte
Une remontée des taux d’intérêt ou un ralentissement de l’économie pourrait ralentir la demande.

Le segment des condos urbains pourrait être plus vulnérable si l’offre devient trop abondante.

Surveillez les coûts d’emprunt, l’endettement des ménages, et les zones géographiques où l’équilibre offre/demande est moins favorable.

5. Conclusion
Pour 2026, le marché immobilier québécois s’annonce comme plus calme, plus prévisible, mais moins explosif que lors des années de forte hausse.
Acheteurs : bon moment pour agir, mais avec prudence.

Vendeurs : oui à la vente, mais stratégie et qualité de mise en marché sont clés.

Investisseurs : opportunités encore présentes, mais horizon plus long et analyse plus minutieuse.

 

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