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À propos de l'Organisme

Coordonnées

7378 Lajeunesse,
Montréal QC H2R 2H8

Heures d'ouverture

Horaire

Les samedis de 9h30 à 10h30 pour les enfants de 5 à 12 ans

Les samedis de 10h45 à 12h pour les 13 ans + adultes

Les mardis de 19h00 à 20h30 pour les ceintures noires

Réseaux sociaux

Contacts (2)

Joel Neves Briard

Directeur technique et pédagogique

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Alain Briard

Directeur général

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Mission

En unissant les techniques traditionnelles et modernes du karatedo, de l’aikibudo et du kobudo, l’École vise le développement des habiletés de défense à main nue de ses membres. À travers la pratique des arts martiaux, chaque individu a le potentiel de s'épanouir tant au plan physique que mental.

Description

Nos origines

Le système de combat du kanzendo trace ses origines à trois arts.

Le karatedo (voie de la main vide) nous parvient principalement de l’île d’Okinawa. Le style pratiqué, nommé le shorinjiryû, a de fortes racines chinoises, jumelant à la fois les techniques linéaires et les techniques circulaires fondamentales à la maîtrise de la défense à main nue.

L’aikibudo (voie martiale de l’harmonisation de l’énergie) est le nom donné à la forme moderne du daito-ryû aikijutsu, soit les techniques de défense du samourai. Cet art se penche principalement sur les projections (nage waza) et les soumissions (osae waza).

Enfin, le kobudo (ancienne voie martiale) est le regroupement de tous les systèmes de combat avec armes développés avant 1868. Le système pratiqué au sein de notre école est l’art le plus ancien à persister à ce jour. En effet, le tenshin shoden katori shinto ryû a été fondé au 15e siècle. La pratique du kobudo est réservée aux yudansha (ceintures noires).

Notre philosophie d’entraînement

Le dojo est un lieu dédié à la pratique. Tout membre qui y entre est attendu à s’efforcer afin de se dépasser lors de chaque entraînement.

La pratique du kanzendo implique un mélange unique de valeurs et de principes enracinés dans l’histoire de la classe guerrière japonaise mais épurés et modifiés pour le temps contemporain. Ainsi, nous avons abandonné certaines traditions jugées désuètes (e.g. dojo kun – principes de l’école récités à chaque début de cours, shomen ni rei – salut au mur d’honneur) pour se concentrer sur les traditions essentielles.

Le développement technique des membres prime aussi fort que leur cheminement individuel sur la Voie. Les élèves évoluent toujours à leur propre rythme personnel. La pratique en équipe est fondamentalement importante, mais l’École n’organise aucune compétition.

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